Photographie d’un jeune courant à toute vitesse sur un ponton artisanal du village d’Hanuabada, à Port Moresby. C’est un exercice périlleux car aucune lame n’est taillée de la même dimension et n’est posée à la même distance des autres. Pieds nus, il y a aussi le risque des échardes et des clous. Et par temps pluvieux ou humide, comme le bois se ramolli, certaines lames cèdent sous le poids.
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Photo issue d’une série dans le village sur pilotis Hanuabada de la tribu Motu à Port Moresby.